MODÈLE ÉCONOMIQUE DURABLE, NOVAMONT REJOINT L’INSTITUT DE L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE

Dès ses débuts en 1989, Novamont a mis sa puissante recherche dans le domaine de la chimie verte au service d’une articulation entre l’industrie, l’agriculture et l’environnement dans le but de développer des technologies mobilisant des ressources et des industries locales pour la production de matières premières à moindre impact environnemental.

Avec la mise en route en 2006 à Terni de sa première bio raffinerie, le concept de bio économie devient une réalité. A Terni on produit le Mater-Bi®, un bio-polymère contenant des ressources végétales locales, en impliquant ainsi, de manière directe, les agriculteurs dans la filière de production des bioplastiques et en agissant de façon durable sur la logistique. Ces facteurs à eux seuls peuvent améliorer de façon significative l’impact environnemental du produit. De plus, à travers une gestion responsable, les déchets et les coproduits de la raffinerie sont utilisés pour produire localement de l’énergie.

Si, d’une part, la bio raffinerie et les bioplastiques démontrent qu’il est possible de développer un modèle économique alternatif, d’autre part Novamont, à travers ses partenariats et ses alliances, met l’accent également sur la fin de vie de ses produits, biodégradables et compostables, valorisables par compostage ou digestion anaérobie. Le but est d’en obtenir un compost de qualité qui, une fois dans le sol, favorise en tant qu'amendement organique, la croissance des cultures.

C’est justement ce concept d’économie circulaire que Novamont partage avec l’Institut de l’économie circulaire créé récemment en France dans le but d’optimiser la gestion des ressources naturelles par l’adoption, d’ici 2017, d’un cadre législatif favorable au recyclage.